Dernier pas de danse
La peur n’est plus un frein,
plus rien n’est incertain.
Je sors de ma cachette
Pour tout bas dévoiler
Mon idéal’ liberté.
Sans ambages se reflète
Du tiroir à détresses
L’après comm’ une promesse.
Elle apaise nos colères,
Nous éloigne de l’enfer
Et met fin à l’escale
Pour toucher les étoiles.
Quand les barrières s’effondrent,
Diaphane soulagement,
Se perdre dans
La nuit des temps.
Il n’y a rien de cruel.
L’intemporel
Est bien réel.
Sans distinction,
L’abnégation
Est ma raison.
Un dernier pas de danse
pour rompre la cadence.
Du bout des doigts je vous effleure
mais tout s’échappe enfin.
Plus rien ne me retient,j
je suis bien.
L’armure tombe en lambeaux,
je le vois de là-haut.
Tout s’émiette, tout s’effrite.
Je ris.
Ce dernier pas de danse
devient ma délivrance.
Pourquoi tant de tapage ? Un dernier pas de danse
Nous n’sommes que de passage.
Chaque pas qu’on fait nous mène vers
les flammes ou bien sous terre ;
toujours vers la poussière.
Il n’y a pas d’énigme,
l’être se décline
et nous porte dans l’infime.
Mais quand l’âme devient lasse
l’esprit demande grâce.
Il attend patiemment
cette larme d’argent.
Pour répondre à l’appel :
déployer ses ailes,
se perdre dans
la nuit des temps.
Faut-il être aguerri
pour l’accueillir,
pour lui sourire ?
A chaque heure
on se meurt.
C’est mineur.
pour rompre la cadence.
Du bout des doigts je vous effleure
mais tout s’échappe enfin.
Plus rien ne me retient,j
je suis bien.
L’armure tombe en lambeaux,
je le vois de là-haut.
Tout s’émiette, tout s’effrite.
Je ris.
Ce dernier pas de danse
devient ma délivrance.